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mardi 4 août 2009

LONDRES : CAPITALE MONDIALE DE L'ARGENT

Londres, capitale mondiale de l'argent



Les étrangers qui ont accouru dans la capitale britannique l'ont transformée

La City de Londres a deux cœurs : son centre historique, délimité par les stations de métro Bank et Saint Paul, et Canary Wharf, un quartier construit dans les années 1980, le long d’un des bras de la Tamise (voir la carte ci-dessus). Là, sur un même square, on retrouve les banques Morgan Stanley, Crédit suisse et Barclay’s.

Cette City revendique son autonomie par rapport au gouvernement britannique en apparence mais rien n'existe ni ne se fait sans que LA COURONNE D'ANGLETERRE CONTRÔLE TOUT. La City avait soutenu l’indépendance américaine contre les Britanniques le temps de tout diviser mais LA FAMILLE ROYALE DE LONDRES qui contrôlait savamment tout, autant les leaders généraux américains que sa Cité de Londres avait tout organisé dans le but de resserrer davantage son pouvoir et éliminer les contre-forces. Aujourd’hui, un ministre du gouvernement est chargé des relations avec la City, qui assure 10 % du PIB britannique.

Quand on sort de ces deux City, situées à l’est de la ville, on choisit de se diriger vers l’ouest : dans le quartier de Knightsbridge où les Russes font leurs courses sous les regards d’ouvriers du bâtiment en grande majorité polonais, puis à South Kensington où habitent les plus fortunés des 300 000 Français de Londres.


Toujours vers l’ouest, au croisement des lignes « Julibee » pour Canary Wharf et « Central » pour Bank et Saint Paul, Mayfair rassemble des centaines de fonds d’investissements. Comme la « boutique » (shop) de Peter Globokar, « Mooreland Partners », spécialisée dans les rapprochements de sociétés dans la haute technologie.

"Londres n’est pas une ville politique mais GÉOPOLITIQUE. C’est un carrefour de financiers mis en place par les élites les Clubs de Londres"



Dans ce monde-là, Londres est un aimant. On y parle l’anglais, alors qu’à Paris, « il faudra apprendre, pour un étranger, une nouvelle langue que sa propre langue et l’anglais », explique un banquier français. On y est jeune.

« Un trader doit réagir vite, être frais et dispos face à l’ordinateur. » Sauf que la législation britannique inclut maintenant l’âge comme une forme de discrimination. « Il est sûr que cela va changer à l’avenir le visage de la City, où, pour l’instant, un trader ne peut avoir 50 ans. On s’attend à beaucoup de procès où des employés vont invoquer l’âge comme raison de leur licenciement », explique-t-il.

À Londres, on doit aussi être riche

À Londres, on doit aussi être riche.Tout y est cher. La location d’une maison dans les quartiers de Chelsea ou de Kensington pour une famille de quatre personnes revient à 8 800 € par mois. Il faut compter 20 000 € pour la scolarité annuelle d’un enfant dans une école privée britannique, la moitié pour une place dans une école française, si l’on en obtient une. « Je considère que les écoles publiques sont dangereuses pour l’avenir de mes enfants », estime Peter Globokar. Les Américains, dont la monnaie se dévalue depuis quelques années par rapport à l’euro et à la livre, se plaignent de cette vie chère.

L’entrée en voiture dans le centre de Londres est aujourd’hui payante : 10 € pour l’instant et jusqu’à 70 € de parking pour la journée. La municipalité a comme projet maintenant de surtaxer les véhicules 4 × 4 en portant leur droit d’entrée dans le centre à 35 €.

« Il y aura toujours des Russes pour trouver cela bien. Ils cherchent toujours de nouvelles façons de dépenser leur argent », lâche le banquier français. En attendant, les taxis noirs sillonnent la ville, les oiseaux commencent à se faire entendre dans les squares de Mayfair ou de Belgravia, bordées de maisons patriciennes blanches qui abritent quelques-unes des plus importantes fortunes de la planète.

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Quand Londres est obligée de sortir son ARTILLERIE INTERNATIONALE pour affirmer son pouvoir et sa notoriété......

LONDRES MONTRE SES CORNES


LONDRES PREND OFFICIELLEMENT LE CONTRÔLE DE SES BANQUES QU'ELLE CONTRÔLAIT OFFICIEUSEMENT.

Après les jours noirs qu'ont connus les Bourses mondiales la semaine dernière, les annonces de plans de sauvetage des banques se succèdent à un rythme effréné depuis samedi.

Tandis que les États-Unis peaufinent leur plan d'action en s'inspirant des initiatives européennes, la Grande-Bretagne a annoncé qu'elle se portait aux secours de trois des plus grosses banques du pays.

L'ère des privatisations à tout-va est bel et bien terminée au Royaume-Uni. Le gouvernement de Gordon Brown a annoncé hier que les contribuables britanniques allaient prendre possession de 60% des actions de la Royal Bank of Scotland (RBS) et de 40% des parts de HBOS et de la Lloyds, en échange d'une injection de 74 milliards de dollars en capital.

*** Et si les Banques nouvellement privatisées par Londres n'ont pas assassiné la Reine: c'est la preuve que c'est la Reine les contrôlait déjà et que c'est elle et son entourage qui lui est tout dévoué qui font assassiner les dirigeants des Pays qui osent vouloir nationaliser les banques ou changer les règles internationales de la Monarchie économique.


On se souviendra que Londres a fait assassiner tous les Chefs d'États qui essayaient d'Étatiser leurs Banques tels: Lincoln, Kennedy, .....
Lincoln tenta de les empecher de développer leurs activités. En 1862 il refusa de payer l'excessif taux d'interêt que les Rothschilds avaient demandé et il émit les billets des États Unis autorisés constitutionnellement et degagé d'interêt. Son assassinat en 1865 tira son origine probablement de cet evenement.

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Londres

ses oligarchies, ses multinationales, ses banques, ses armées, ses chevaliers et autres pions, ses ......






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